Longtemps, longtemps après que les poètes ont disparu…
Par où commencer, de cette violence, de cette décadence tous azimuts, le comportement, le sans limites, cette France je ne la connais plus, a vomir, le dernier César, une horreur que j’avais pressenti ‘Titane’, les EX poignardant aussi systématiquement la compagne qui l’avait dégagé, même avec l’interdiction d’approcher, coriace ces jaloux de la terre, chaque jour pourtant le pays sombre aussi invariablement vers la vulgarité des esprits, ce multiculturalisme devenu la grande catastrophe nationale, et la démographie qui empire de mères seules, débordées. On retourne vers le côté Zola d’une culture qui s’est laissée dépassée, n’a pas résisté, tiens je vois maintenant « des jeunes faisant le bélier avec une voiture volée rue d’Avron » que du banal à Paris, les passants sourient, prennent la vidéo, ils paieront cette légèreté mal placée, et l’école : une catastrophe, qu’apprend-on aujourd’hui a se conduire dans la société, respecter les autres ?
Chacun pour sois de plus bas de plus laid, comme ce film primé, il doit y avoir une raison : Wokisme ? Identité ? Un message particulier pour une association a défendre, une cause inoubliable, une merde pour nous servir de pays. Je souffre de voir aussi mon cher Paris aux mains des banlieusards, qui cassent l’ambiance, la ville devient un enfer, le même que j’avais connu dans la banlieue parisienne que j’avais quittée jadis, je retrouve trait pour trait les mêmes paramètres : football, bière, agressivité, enfin c’est surtout de la tristesse d’une ville et je crois d’un pays qui a tourné le dos a son passé, sa culture, je ne comprends plus rien de ce marasme au Titanic, qui coule, qui coule, chaque jour un peu plus. La langue, la il faut tout oublier.Notre pays en fromage blanc d’où les règles semblaient a défiées systématiquement dans les lieux public, et collectif.
Rêves de voiliers oubliés.
Rêves de beauté mal fagotée.
Le vacarme des scooters, le long cortège triste des familles sur les trottoirs habillés de noir en chasuble d’un autre temps, les attroupements bruyants de jeunes bigarrés. Les rues dégueulasses où l’on ne peut s’asseoir ni s’arrêter sans y être bousculé, les poussettes qui vous roulaient sur les pieds dans les bus sans même vous regarder dans une indifférence royale. Ce flot continu de bêtise accumulée avec les marmots pléthoriques. Les voleurs à l’arrachée du métro de jeunes en provenance du Maghreb et les sans masque qui souriaient à pleines dents en téléphonant pour mieux ignorer les autres, l’indifférence pour les citoyens dont ils savaient utiliser si besoin est.
Le Paris qui perdait tout son lustre jour après jour devenait un centre commercial pour banlieusards en mal de Mac Donald à ciel ouvert. De racailles à trottinettes sur les Champs-Élysées faisant la course, salissant les rues et l’immeuble jadis calme, devenu un HLM foutraque, voilà le tableau d’aujourd’hui, mais ça chacun de nous le sait, il n’y a qu’à baisser la tête et accepter ces agressions indigestes, enfin j’avais mal sur le fond de ce qu’était devenue la société française, presque envie de pleurer.
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